samedi 24 février 2007
Romans
"Le soleil pas à pas", Walter Tevis
"Cheyenne 6112", William Camus & Christian Grenier - Collection "Grand Angle", éditions G.P.
"Une Squaw dans les étoiles", William Camus & Christian Grenier - Collection "Grand Angle", éditions G.P.
Sidewalk stories
Entretien avec le réalisateur
"J’ai conçu l’idée de Sidewalk stories la nuit du 6 novembre 1988 dans un passage
souterrain, quelque part dans le Bronx, alors que je rentrais chez moi
après le combat de championnat de Sugar Ray Léonard contre Don Lalonde.
Je suis un fan de boxe et j’étais très en forme après le match. En chemin, je
m’engage dans un souterrain qui évite le cimetière et me trouve nez à nez avec
tout un tas de paumés interlopes qui n’ont aucun endroit où aller, et tout à
coup, je me sens beaucoup moins bien. L’un d’eux, un Noir, s’approche de moi,
probablement pour me demander de l’argent, et j’ai un petit mouvement de
recul. Mais, non ! De façon totalement inattendue et comme s’il avait pu lire
mes pensées, il me demande qui a gagné le match, et cela m’a beaucoup
ému. Tout excité, je lui décris en détail le nouvel exploit du courageux Ray
Sugar. Nous continuons à parler sur le chemin de Times Square, et au moment
de nous séparer, je donne à ce fan de boxe sans abri, tout l’argent que j’ai sur
moi : un dollar… Toute ma réflexion et mes émotions antérieures sur ce problème
des sans-abri se sont alors cristallisées sur la vérité criante que derrière
chaque personne sans abri, il y a un individu et non un magma abstrait qui
regrouperait les rebus de la société. En descendant du métro, et en me précipitant
sur le trottoir glacial en direction de mon foyer bien douillet, j’aperçus
deux pieds sortant d’une boîte en carton. "
Dossier distributeur
Source : http://crdp.ac-bordeaux.fr/uml/ecole_et_cinema/Sidewalkstories.pdf
NON...
As I take your hand and lead you to the dance floor.
As the music dies...
Something in your eyes,
Calls to mind a silver screen,
And all its sad goodbyes.
Chorus
Im never gonna dance again,
Guilty feet have got no rhythm.
Though its easy to pretend,
I know youre not a fool.
I should have known better than to cheat a friend,
And waste a chance that Id been given.
So Im never gonna dance again,
The way I danced with you.
Time can never mend,
The careless whisper of a good friend.
To the heart and mind,
If your answers kind...
Theres no comfort in the truth,
Pain is all youll find.
Repeat chorus
What am I without your love?
Tonite the music seems so loud,
I wish that we could lose this crowd.
Maybe its better this way,
Wed hurt each other with the things we want to say.
We could have been so good together,
We could have lived this dance forever...
But now, whos gonna dance with me?
Please stay.
(alternatively):
And now its never gonna be
That way...
Repeat chorus
Now that youre gone...
Now that youre gone...
Now that youre gone...
Was what I did so wrong?
So wrong that you had to leave me alone?
(return to top)
Non, je ne suis pas lyrique ni Rome Antique
I feel so unsure,
As I take your hand and lead you to the dance floor.
As the music dies...
Something in your eyes,
Calls to mind a silver screen,
And all its sad goodbyes.
Chorus
Im never gonna dance again,
Guilty feet have got no rhythm.
Though its easy to pretend,
I know youre not a fool.
I should have known better than to cheat a friend,
And waste a chance that Id been given.
So Im never gonna dance again,
The way I danced with you.
Time can never mend,
The careless whisper of a good friend.
To the heart and mind,
If your answers kind...
Theres no comfort in the truth,
Pain is all youll find.
Repeat chorus
What am I without your love?
Tonite the music seems so loud,
I wish that we could lose this crowd.
Maybe its better this way,
Wed hurt each other with the things we want to say.
We could have been so good together,
We could have lived this dance forever...
But now, whos gonna dance with me?
Please stay.
(alternatively):
And now its never gonna be
That way...
Repeat chorus
Now that youre gone...
Now that youre gone...
Now that youre gone...
Was what I did so wrong?
So wrong that you had to leave me alone?
(return to top)
jeudi 22 février 2007
mercredi 21 février 2007
Shakti Gawain
mardi 20 février 2007
4/03/02
- déjeuner : Brest, port de plaisance, "Le Tour du monde", sandwich (jambon de pays/fromage) + Britt (bière rousse bretonne) avec du soleil, ... superbe moment.
- hôtel St-Barbe, hésitation entre les chambres 251 et 254. Finalement : 254, vue panoramique sur le port ... génial !
- balade pointe de Corsen
- toit = piste d'atterissage et de décollage des goëlands -> pourquoi se dirigent-ils en groupe vers la mer (les îles, les bâteaux de pêche..) ?
- La forêt Landerneau ++
- Le soir : Taverne du port : ++ pas très cher et bon.
-> salade du tavernier, lieu jaune, bavarois aux framboises + Coreff (pression).
lundi 19 février 2007
Chaise (é)lectrice
chaise de lectrice
une image vaut mille mots.
vouloir être entouré de ses livres, quoi de mieux. surtout si on a de l'espace, parce que ça doit être un peu envahissant comme chaise. mais l'idée est très bonne.
pour en savoir plus et voir les autres modèles.
Libellés : curiosité
L'univers péotique de Marie Demon
"11 février 2007
Anagrammes
J'ai rencontré une personne, hier, qui, en voyant mon nom, s'est écrié : "il y a trois anagrammes dans ton nom."
Trois anagrammes ? Ai-je répondu, dévisageant cet homme sorti de nulle part. Il se trouvait ici, par hasard, il avait lu l'affiche. Il était entré...Pas très grand, mal rasé, il avait la trentaine, mais ses yeux enfantins trahissaient un oubli de grandir. Il avait lu les lettres de mon nom, sur un de mes livres, là, disposé parmi les autres.
- Oui, continua-t-il. Trois anagramme pour chacun des mots de ton nom. Trois anagrammes qui se ressemblent et se complètent, dans l'immensité de la vie. Il faut absolumment que je lises ce que tu as écris !
Encore abasourdie, je le regardai empoigner délicatement mon livre, et pénétrer dans les pages. Il avait pris "l'érotisme des fleurs".
Comme il ne disait, rien, je me risquai à le questionner.
- Des anagrammes ?
- Oui, dit-il en refermant le livre. Et vos écrits confortent mes impressions, et ces anagrammes.
Il me les dévoila, et je compris alors beaucoup de choses...
Les voici : AIMER PRIERE MONDE."
Danse avec les livres
La vie sera celle que je construirai dans les étoiles filantes de l'envie.
L'amour sera celui de la terrre, la mer, sans ennui, sans risque de ne pas mourir trop tôt.
L'immortalité sans lys, s'enlise dans ce dessert jaune de la Mauritanie, dans ce désert blanc de la monotonie où pousse la vie sur chaque parcelle de grain de petit et calme sable.
Le vent s'invite sans cesse, sans maîtresse, dès q'il peut, virvolant sans casque, chantant sans prise, épris de liberté, de sagesse et de bonté.
L'amititié, n'est pas ce que tu crois, les amis sont seuls et sans oubli.
Roman policier loufoque où les héros sortent tout droit de la 7ème dimension des nuages bas le matin en bretagne.
Un collage photographique parsemé d'étoiles linéaires sans équation à 3 inconnus du nord express qui vous mènent là vous vous allongez, seul, dans l'océan infini des rythmes cardiaques de l'envie.
dimanche 18 février 2007
Et même si le vent venait me voir
Comme un loir
En bord de Loire
Cisaille la vie
De milliers de miroirs
Peut-être - Bruno Lesage
Déjà les premières vagues ont repris le chemin du ressac et gisent sans égard son visage de sable mais il en ignore le fracas. Cri de mouette que le vent déplace vers d'autres horizons. A-t-on vu le soleil tremper sa lèvre d’un soir dans la coupe pleine du hasard ? C'est la démarche trop droite du crabe pochard qui lui arrache un rire noir, son écho se perd de l'autre côté du miroir où tremble son reflet au milieu des étoiles.
On n'a pas dit qu'il s'était assis, tassé taciturne sur le sein d'une dune mais il est si bien qu'on le laisse ainsi adossé à sa détresse. Nuit où s'épaissit la courbature de l'âme et puis l'homme rétrécit au point de n'être plus qu’un grain de larme.
Le lendemain offre un autre matin à la promenade, marchent main dans la main, l'homme et la vague, la femme et la plage puis elle s'éloigne ou lui jette à la face des algues d'adieu.
Il court même comme fou jusqu'à l'océan flaque.."
Autre version de ce poème.
Hoobstank - The reason
"The Reason"
I'm not a perfect person
There's many things I wish I didn't do
But I continue learning
I never meant to do those things to you
And so I have to say before I go
That I just want you to know
I've found a reason for me
To change who I used to be
A reason to start over new
and the reason is you
I'm sorry that I hurt you
It's something I must live with everyday
And all the pain I put you through
I wish that I could take it all away
And be the one who catches all your tears
Thats why i need you to hear
I've found a reason for me
To change who I used to be
A reason to start over new
and the reason is You [x4]
I'm not a perfect person
I never meant to do those things to you
And so I have to say before I go
That I just want you to know
I've found a reason for me
To change who I used to be
A reason to start over new
and the reason is you
I've found a reason to show
A side of me you didn't know
A reason for all that I do
And the reason is you