mardi 29 décembre 2009
mardi 24 novembre 2009
dimanche 1 novembre 2009
mardi 27 octobre 2009
samedi 24 octobre 2009
Julian Casablancas : River of Brakelights
We might be here for a late night
Stuck in a lava flow of brakelights
I can hear a rattling bass drum
Driving back to where it came from
Sit back on
I shop therefore I am the cause
Protect me from what I was
Getting the hang of it, getting the hang of it
Getting the hang of it, getting the hang of it
Getting the hang of it, getting the hang of it
Getting the hang of it, getting the hang of it
Timing is everything, timing is everything
Timing is everything, timing is everything
Timing is everything, timing is everything
I'm at your feet where critters meet?
We'll sho me a super night crossing roads or highways
In the afterlife of supercities, gravity devours ... right beneath
No bad time for kids who hate sports
Mothers crying at the airport
Finding the dreams you left behind to do
Waving goodbye your young heart cries for you
Sit back on
You're finding it out together,...
We were born waiting alive
Grabbing the future by the eyes
Getting the hang of it, getting the hang of it
Timing is everything, timing is everything
Getting the hang of it, timing is everything
Getting the hang of it, timing is everything
Timing the hang of it, getting is everything
Getting the time of it, everything hangs on this
Hanging the getting of, timing the getting of
Like bodies we die like rivers we dry
We fuel and recharge the ...
My .. myself, ... homeward bound
Where did you go, you were my ride home
Is that what we want?
Is everything shot?
Is that what you ask for?
'Cause that's what we got
Life is destined
Life is destined
mercredi 21 octobre 2009
mercredi 14 octobre 2009
mardi 29 septembre 2009
jeudi 24 septembre 2009
jeudi 17 septembre 2009
Portail emploi, annonces emploi entreprises CAC
http://portail-emploi.blogspot.com/
mercredi 16 septembre 2009
vendredi 4 septembre 2009
mercredi 26 août 2009
mardi 28 juillet 2009
jeudi 25 juin 2009
Les 7 piliers de la sagesse du vendeur
"7. Rendre le présent parfait : voir le verre à demi-plein de notre vie, plutôt que la moitié vide. Pour cesser de nous plaindre, la première recette consiste dès le réveil de cesser de se projeter dans l’avenir. Si celui-ci est heureusement porteur d’espoir, il s’avère souvent anxiogène. Donc bloquons notre compteur sur aujourd’hui tel le concertiste entrant sur scène, et jouons notre partition comme s’il n’y avait pas de lendemain. Les commerciaux et leurs managers sont focalisés sur l’avenir, les objectifs à atteindre. En période de crise, chacun ainsi se répète toute la journée : alors à quand la reprise ? Pourtant la seule chose sur laquelle le commercial a une influence est le présent. Comment se comporte t-il ici et maintenant face à son client et prospect ?"
mercredi 24 juin 2009
mercredi 27 mai 2009
mardi 5 mai 2009
jeudi 30 avril 2009
Le déclic libérateur
"Je suis un homme heureux. Aujourd'hui j'ai un métier, trois enfants et des papiers ! Ce matin-là, je ne sais pas pourquoi, je me suis remis en route, tout simplement et d'un seul coup. Peut-être que je n'avais plus d'autres choix qu'entre vivre et me laisser dégringoler.
Je crois aussi que tout au fond de moi, j'ai laissé tomber le souci de savoir qui j'étais, avec mon nom, mes ancêtres, tout ça. D'ailleurs, c'est juste après cela que je me suis orienté sérieusement vers le bouddhisme.
J'ai lu dans un texte qu'exister consistait en vérité à savoir rester assis calmement, se lever calmement, agir calmement. Être dans l'attention permanente de l'instant, servir les autres, c'était cela être soi et rien d'autre. J'ai lu un poème de Thich Nhat Hanh qui disait à peu près : "Je ne cesse de naître, je nais à chaque seconde, je suis l'enfant... je suis l'oiseau... je suis cet homme, cet autre, cette femme...". Ca m'a beaucoup parlé. Je crois avoir approché ce que c'est qu'exister sans être défini par quelque chose qui s'appelle une identité. Je crois avoir compris la différence entre mon nom et moi."
"
http://vipassanasangha.free.fr/poeme_tnh.htm
lundi 27 avril 2009
mardi 31 mars 2009
Val d'isère mars 2009
- Virage : poids sur le pied extérieur. Force sur gros pouce + malléole interne
- Avoir les mains dans le champ de vision
- 2/3 du temps en relâchement, 1/3 d'action au moment du virage
- Contrôler, conduire ses skis
- Face à la pente pour tourner, s'aider du mouvement du bras et de la main "extérieure" qui sont ramenés vers la pente
- La matériel fait la différence, avoir de bons skis
- Poids du corps sur le devant des pieds, poids centré sur le milieu des skis
- Contact tibial constant pour le contrôle des skis
- Avoir la sensation de passer ses skis sous soi avec un contact tibial permanent
- Buste relâché, bras relâchés, ce sont les pieds, les jambes qui bougent, le haut du corps bouge très peu, seulement pour se mettre face à la pente
- Avoir la sensation de glisse naturelle, laisser aller ses skis dans les virages, les laisser tourner "naturellement", puis prendre le contrôle
- Groupe niveau "Confirmés"
- Le dos est droit, légèrement incliné en avant. Les genoux sont fléchis.
vendredi 20 mars 2009
jeudi 19 mars 2009
lundi 16 mars 2009
mercredi 11 mars 2009
vendredi 20 février 2009
Jeudi 19 février
Sourires, rires, amour...
Naissance d'Erell (3,6 kg).
Citation du 19 février
"
N’embauchez pas celui qui travaille pour de l’argent, mais celui qui aime son métier.
Henri D. Thoreau – La vie sans principe (in Essais, p. 243)
Voilà un conseil de bon sens que Thoreau prodigue en 1854 à ceux qu’on appellerait aujourd’hui des DRH.
Et vous savez quoi ? Cette remarque il y a encore quelques mois serait bien mal passée.
- Encore un accès de moraline aiguë, hein ?
Voilà bien les français, coincés par rapport à l’argent. Les Américains, eux ils ne sont pas comme ça. Tout ce qui compte pour eux c’est ce qu’on vaut en dollars, et pas comment on fait pour les gagner.
Et on aurait inutilement fait valoir que Thoreau est précisément un américain : ce ne serait sûrement qu’un marginal, que la patrie de l’oncle Sam tolère dans sa grande générosité, mais qui ne reflète en rien la véritable Amérique. Voilà ce qu’on aurait entendu.
Et puis… La crise, les subprimes, Kerviel et puis Madoff, et puis tous ces pauvres gens que la rapacité des banques ont réduit à la misère… Et puis le plan de relance d’Obama qui encadre les rémunérations des financiers de Wall Street.
Maintenant que tout ça est entrain de passer, on entend un peu plus distinctement l’avertissement de Thoreau, et on se dit que si jamais on suivait son conseil, dans les entreprises, alors il se passerait quelque chose de neuf.
Il se passerait que cet avertissement, venu du 19ème siècle nous ferait entrer dans le 21ème.
N.B. Sur un tel sujet, je ne résiste pas au plaisir de citer Jacques Séguéla : « Si a 50 ans tu n’as pas une Rolex, alors tu as raté ta vie » "