1 jour avant la fin de l'année, bébé s'agite, se balance, crie, pédale, tricote, je suis là, présent, je vis une belle histoire, depuis quelques mois, quelles années...
La mer, le ski, la poudreuse, la plaisir, la glisse, les joies, les sourires, les larmes la neige la liberté de mouvement, le vent, les livres, les regards bleu gris océan noir et voir, pluie sombre et écarlate, éclat des sourires, des rires enfantins, des "ah-reu" magiques, des larmes de bonheur magique, des fruits, des souvenirs plein les yeux enivrants, tendresse infinie, douceur câline, la mie de pain et les oiseaux qui dorment près des murs de 1989, le 1er Nöel, je ne suis plus malade... je suis vivant, je veux vivre, vivre encore, encore et encore...
30 décembre 2010... :-)
jeudi 30 décembre 2010
dimanche 19 décembre 2010
vendredi 26 novembre 2010
mardi 9 novembre 2010
dimanche 7 novembre 2010
vendredi 5 novembre 2010
mercredi 3 novembre 2010
jeudi 28 octobre 2010
Meg Whitman
"Née en 1956 à Long Island (New York), dernier enfant d'une famille qui en compte trois, Meg Whitan grandit dans un milieu aisé, entre un père capital-investisseur et une mère femme au foyer qui lui apprendra à "prendre son destin en main et à faire ce qu'elle veut de son existence."
Les Echos, 30 et 31 juillet 2010
Les Echos, 30 et 31 juillet 2010
mercredi 27 octobre 2010
mardi 26 octobre 2010
Celui qui volera sa poupée, Jean-Michel Caradec
Celui qui volera sa poupée
Il n'est pas encore né
Qu'il reste encore
Dans son vieux château
Il est trop tôt
Pour qu'il me la prenne
Ma fille
Ma reine
Celui qui fleurera sa peau
En lui disant des mots
Qui sont à nous
Qui sont dans son cou
Depuis son berceau
Dis, il est trop tôt
Pour qu'il me la prenne
Ma reine
Laissez-la dormir
O fées Carabosse
Des légendes
Korrigans des landes
Laissez-la-moi encore
Avant que vienne la mort
Celui qui volera sa poupée
Il n'est pas encore né
Qu'il reste encore
Dans son vieux château
Il est trop tôt
Dis, il est trop tôt
Pour qu'il me la prenne
Ma reine
Il n'est pas encore né
Qu'il reste encore
Dans son vieux château
Il est trop tôt
Pour qu'il me la prenne
Ma fille
Ma reine
Celui qui fleurera sa peau
En lui disant des mots
Qui sont à nous
Qui sont dans son cou
Depuis son berceau
Dis, il est trop tôt
Pour qu'il me la prenne
Ma reine
Laissez-la dormir
O fées Carabosse
Des légendes
Korrigans des landes
Laissez-la-moi encore
Avant que vienne la mort
Celui qui volera sa poupée
Il n'est pas encore né
Qu'il reste encore
Dans son vieux château
Il est trop tôt
Dis, il est trop tôt
Pour qu'il me la prenne
Ma reine
samedi 23 octobre 2010
Matin magique du 22 octobre 2010
""
"
«Il y a un lieu en moi où je vis toute seule. C'est là que se renouvellent les sources qui ne se tarissent jamais.» – Pearl Buck |
La peur... Elle semble parfois aussi réelle et solide qu’un bloc de béton, puisque notre esprit s’affaire continuellement à prouver, confirmer et valider les pensées qui sont à son origine. Quoi que l’on imagine, il nous donne toujours des raisons apparemment très valides de continuer à croire en notre idée...
Si on observe notre vie à travers le filtre de la peur, on a donc parfois le sentiment d’avoir été envahi, enseveli, possédé... Cela dit – et c’est là où je veux en venir –, il y a un espace à l’intérieur de nous qui reste inconditionnellement libre et illimité. Un soleil infiniment puissant qui ne cesse de rayonner. Cet aspect de nous, aucune crainte de quelque nature que ce soit ne peut l’atteindre et le polluer. Il s’agit de notre propre essence, bien sûr... Et seulement en elle pouvons-nous trouver une véritable sécurité – une douce, chaude et lumineuse sécurité qui nous permet de plonger courageusement dans la vie et de briller.
Je vous souhaite une délicieuse journée et un super week-end... À lundi!
Si on observe notre vie à travers le filtre de la peur, on a donc parfois le sentiment d’avoir été envahi, enseveli, possédé... Cela dit – et c’est là où je veux en venir –, il y a un espace à l’intérieur de nous qui reste inconditionnellement libre et illimité. Un soleil infiniment puissant qui ne cesse de rayonner. Cet aspect de nous, aucune crainte de quelque nature que ce soit ne peut l’atteindre et le polluer. Il s’agit de notre propre essence, bien sûr... Et seulement en elle pouvons-nous trouver une véritable sécurité – une douce, chaude et lumineuse sécurité qui nous permet de plonger courageusement dans la vie et de briller.
Je vous souhaite une délicieuse journée et un super week-end... À lundi!
" Citation du 22 octobre 2010
http://citationdujour.blogspot.com/2010/10/citation-du-22-octobre-2010_21.html
"Si vous cassez un bout de bois en deux, il y a encore deux bouts à chaque bout.
Raymond Devos
Rions un peu…
Le philosophe aime le sketch de Raymond Devos, parce qu’il lui permet de parler sérieusement de ce qui fait rire tout le monde. Cela lui permet d’éviter de paraître ridicule, comme Socrate dont on se moquait en le traitant de lourdaud dérisoire : on riait alors non pas avec lui mais contre lui. A tort, bien sûr, puisque dès qu’on commençait à dialoguer avec lui on était soi même ridiculisé par la honte de voir démasquée sa vaine arrogance.
En fait, si on rit en écoutant ce sketch, c’est uniquement parce que le personnage mis en scène s’embarrasse lui-même de questions que personne ne se pose – parce que personne ne sait comment les résoudre. On rit pour éviter d’y penser.
Bref, le problème que pose Raymond Devos ici n’est autre que celui de la divisibilité de l’espace. S’il y a deux bouts distincts à chaque division d’un segment, c’est bien parce que subsiste un espace entre les deux. C’est comme ça que Zénon prétendait qu’Achille ne rejoindrait jamais une tortue avec la quelle il ferait la course et qui serait partie juste avant lui – on dirait de la même façon qu’on n’aura jamais fini de casser le bout de bois en deux, puisqu’il y aura toujours quelque chose à casser entre les deux bouts.
C’est là qu’on arrive à mieux comprendre la situation. On arriverait au terme de la division s’il était possible que les deux bouts du même segment arrivassent (sic) à se rejoindre.
Et c’est là bien sûr qu’on pose la question : est-il possible de joindre les deux bouts ? (1)
---------------------------
(1) Rions un peu (nous aussi) : une assistante sociale reçoit un jour cette lettre d’une maman qui demande une aide financière : « Bien que je nourrisse mon enfant au sein, je n’arrive pas à joindre les deux bouts. » "
"Si vous cassez un bout de bois en deux, il y a encore deux bouts à chaque bout.
Raymond Devos
Rions un peu…
Le philosophe aime le sketch de Raymond Devos, parce qu’il lui permet de parler sérieusement de ce qui fait rire tout le monde. Cela lui permet d’éviter de paraître ridicule, comme Socrate dont on se moquait en le traitant de lourdaud dérisoire : on riait alors non pas avec lui mais contre lui. A tort, bien sûr, puisque dès qu’on commençait à dialoguer avec lui on était soi même ridiculisé par la honte de voir démasquée sa vaine arrogance.
En fait, si on rit en écoutant ce sketch, c’est uniquement parce que le personnage mis en scène s’embarrasse lui-même de questions que personne ne se pose – parce que personne ne sait comment les résoudre. On rit pour éviter d’y penser.
Bref, le problème que pose Raymond Devos ici n’est autre que celui de la divisibilité de l’espace. S’il y a deux bouts distincts à chaque division d’un segment, c’est bien parce que subsiste un espace entre les deux. C’est comme ça que Zénon prétendait qu’Achille ne rejoindrait jamais une tortue avec la quelle il ferait la course et qui serait partie juste avant lui – on dirait de la même façon qu’on n’aura jamais fini de casser le bout de bois en deux, puisqu’il y aura toujours quelque chose à casser entre les deux bouts.
C’est là qu’on arrive à mieux comprendre la situation. On arriverait au terme de la division s’il était possible que les deux bouts du même segment arrivassent (sic) à se rejoindre.
Et c’est là bien sûr qu’on pose la question : est-il possible de joindre les deux bouts ? (1)
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(1) Rions un peu (nous aussi) : une assistante sociale reçoit un jour cette lettre d’une maman qui demande une aide financière : « Bien que je nourrisse mon enfant au sein, je n’arrive pas à joindre les deux bouts. » "
vendredi 15 octobre 2010
lundi 4 octobre 2010
vendredi 24 septembre 2010
mardi 7 septembre 2010
jeudi 2 septembre 2010
dimanche 22 août 2010
vendredi 16 juillet 2010
lundi 12 juillet 2010
Souvenir, souvenir... Mardi Gras - Girl, I've got news for you (1971)
It's not fair
Why did you lie
You don't care
You don't even try
You sat there
With another guy
Laughing at me
It's not fair
You weren't true
I don't care
What you do
If you should find
Somebody new
I'll set you free.
Oh Yeah!Girl
I've got news for you
I think
It's abuse from you
Someday
You'll find some guy
He won't care
He won't care
samedi 19 juin 2010
jeudi 17 juin 2010
samedi 12 juin 2010
samedi 5 juin 2010
Conseil à l'intention de la jeunesse de Mary Smich (1997)
http://boronali.blogspot.com/2010/06/conseil-lintention-de-la-jeunesse-de.html
"Traduction d'un article original paru dans le Chicago Tribune. (Merci à @LudoDrone pour la découverte via Phreadz )
"Traduction d'un article original paru dans le Chicago Tribune. (Merci à @LudoDrone pour la découverte via Phreadz )
A l'intérieur de chaque adulte se cache un étudiant speaker mourrant d'envie de sortir, un autre expert international désireux de pontifier sur la vie à l'intention des jeunes qui préfère faire du patins à roulettes. La plupart d'entre nous, hélas, ne seront jamais invité à proférer des paroles de sagesse auprès d'un public de jeunes diplômés, mais rien ne nous empêche de nous amuser à composer un guide du savoir-vivre à l'intention de ces jeunes diplômés.
J'encourage toutes les personnes de plus de 26 ans à en faire autant et je vous remercie pour l'attention que vous prêterez à mon exercice.
Jeunes hommes et femmes de la classe de '97 :
Mettez de l'écran solaire.
Si je pouvais vous offrir un seul conseil pour l'avenir, ce serait de mettre de l'écran solaire. Les avantages à long terme de la crème solaire ont été démontrés par les scientifiques, tandis que le reste de mes conseils n'a pas de base plus fiables que les méandres de ma propre expérience. voilà ce que je veux vous transmettre.
Profitez de la puissance et la beauté de votre jeunesse. Et ne vous prenez pas la tête. Vous ne comprendrez la puissance et la beauté de votre jeunesse que quand elles auront disparu. Mais croyez-moi, dans 20 ans, vous regarderez des photos aujourd'hui et vous comprendre d'une manière qui vous êtes maintenant insaisissable combien le monde vous appartenez et à quel point vous étiez beaux alors. Vous n'êtes pas aussi gros que vous imaginez.
Ne vous préoccupez pas de l'avenir. Ou inquiétez-vous si, mais sachez que s'inquiéter n'a pas plus de valeur ni d'efficacité que tenter de résoudre une équation en mâchant du chewing-gum. Les vraies troubles la vie sont susceptibles de n'avoir jamais traversé un esprit inquiet, le genre de choses qui vous déconcertent à 4 heures de l'après-midi d'un quelconque mardi poussif.
Faites chaque jour quelque chose qui vous fasse peur.
Chantez.
Ne vous amusez pas avec le cœur des autres. Ne frayer pas avec ceux qui voudraient s'amuser du vôtre.
Utiliser du fil dentaire (?).
Ne perdez pas votre temps à jalouser autrui. Parfois, vous êtes devant, parfois vous êtes derrière. La course est longue et, en fin de compte, vous ne la faites qu'avec vous-même.
Souvenez-vous des compliments que vous recevez. Oubliez les insultes. Si vous réussissez à faire ça, donnez-moi votre recette.
Gardez vos vieilles lettres d'amour. Jetez vos vieux relevés bancaires.
Faites des étirements.
Ne vous sentez pas coupable si vous ne savez pas ce que vous voulez faire de votre vie. Les personnes les plus intéressantes que j'ai connu ne savaient pas à 22 ans ce qu'elles voulaient faire de leur vie. Certaines de 40 ans encore plus intéressantes ne le savent toujours pas.
Prenez beaucoup de calcium. Sois gentil avec vos genoux. Vous les regretterez quand ils ne marcheront plus.
Vous allez peut-être vous marier ou pas. Peut-être que vous aurez des enfants, peut-être vous n'en aurez pas. Peut-être que vous divorcerez à 40 ans, peut-être vous danserez la bourrée pour votre 75ème anniversaire de mariage. Quoi que vous fassiez, ne vous félicitez pas trop, ou ne vous réprimandez pas plus. Vos choix sont à 50% dus à la chance. Comme ceux de toutes les autres personnes.
Profitez de votre corps. Utilisez-le de toutes les manières possibles. N'ayez pas peur de lui ou de ce que les autres pensent de lui. C'est le plus bel instrument que vous aurez jamais.
Dansez, même si vous n'avez nulle part où le faire, même dans votre salon.
Lisez les instructions, même si vous ne les suivez pas.
Ne lisez pas les magazines de beauté. Ils ne vous feront que sentir laid.
Apprenez à connaître vos parents. Vous ne savez jamais quand ils partiront pour de bon. Soyez gentil avec vos frères et sœurs. Ils sont votre meilleur lien avec votre passé et les personnes les plus susceptibles de rester avec vous dans le futur.
Comprenez que les amis vont et viennent, mais avec quelques une de précieux, vous devez pouvoir tenir le coup. Travaillez dur pour combler les lacunes en géographie et en style de vie, parce que plus on vieillit, plus on a besoin des gens qui vous connaissez quand vous étiez jeune.
Vivez à New York City, mais partez avant que vous ne deveniez trop dur. Vivez dans le Nord de la Californie, mais partez avant que cela ne vous ramolisse. Voyagez.
Accepter certaines vérités inaliénables: Les prix vont augmenter. Les politiciens courront la gueuse. Vous aussi, vous deviendrez vieux. Et quand vous le serez, vous repenserez avec nostalgie que quand vous étiez jeune, les prix étaient raisonnables, les politiciens étaient nobles et les jeunes respectaient leurs aînés.
Respectez vos aînés.
N'attendez après personne pour vous soutenir. Peut-être recevrez vous un patrimoine. Peut-être aurez vous un conjoint riche. Mais vous ne saurez jamais quand un ou l'autre viendra de manquer.
Ne jouez pas trop avec vos cheveux sinon quand vous aurez 40 ans, ils auront l'air d'en avoir 85.
Soyez prudent concernant les conseils que vous "achetez", mais soyez patient avec ceux qui vous les fournissent. Le conseil s'apparente à de la nostalgie. Dispenser des conseils consiste à aller pêcher le passé au milieu des ordures, le dépoussiérer, ripoliner les parties pourries et le revendre pour bien plus cher qu'il ne vaut.
Mais croyez-moi pour l'histoire de l'écran solaire."
vendredi 28 mai 2010
vendredi 21 mai 2010
Cathy de Rodrigo Leão, Neil Hannon
With each other’s where we ought to be, Cathy
I’m gonna right to the Times, sign it desperate at “Dolphin’s Barn”
Shouldn’t we be in each other’s arms, Cathy?
Cathy, it’s at times like these I wish I wrote like you,
You seem to bend your words to suit your needs,
You melt my heart with your imagery, but I don’t know
How to say it better, than darling since I met you
I haven’t been the same
And I don’t know, all the whys and wherefores
But you’re the one I care for and that will never change Cathy
Oh to be with you tonight, smoke a jay and drink a g and t,
Do whatever’s coming naturally, Cathy
Turn the sheets into sails
Turn the bed into a golden ship
Floating slowly down the Mississippi, Cathy.. Cathy
Cathy can you help me please, you put these things more poetically than me
I’ve sung of how love feels but it’s much harder when it’s all real
And I don’t know
How to make it clearer, than honey when I’m near you
It’s like I’m in a dream, and I don’t know (we've felt ?) in stormy weather
But just to be together is good enough for me.. Cathy… Cathy.. Cathy»
samedi 15 mai 2010
samedi 1 mai 2010
mercredi 24 mars 2010
Val d'Isère 2010
Semaine très ensoleillée depuis le dimanche jusqu'au vendredi (la journée la plus chaude). Samedi, pluie au début, éclaircies sur Arcelle, puis couvert, neige collante, et presque de l'eau en bas des pistes (OK, superbe piste mais avec une bonne neige).
Skis : Salomon X Wing Tornado Ti 2010. Trop "rigides" ? Bonne vitesse en courbe une fois le poids sur le ski. Ski "Polyvalent", Pistes/Hord piste. Privilégier des skis "pistes" pour stage "piste" ? Groupe : confirmé (débutant, maîtrise, confirmé, expert). Hors piste : à Tignes, possibilité pour des confirmés. A Val d'Isère, il faut être "expert".
Différence entre "expert" et "confirmé" : la maîtrise, le contrôle, le toucher de neige, la technique, passent partout sans problème (bosses, verglas, ...).
Ski :
- épaules, bras relâchés, par contre, abdominaux contractés, buste contracté
- dans la pente, le corps se penche en arrière naturellement avec l'accélération, il faut un effort physique, du buste, des abdominaux pour se pencher en avant
- avoir le poids du corps sur le pied qui guide, sur le pied aval en courbe
- courbe coupée
- carving : pousser les genoux, les tibias, parallèles
- angulation : pencher le corps du côté de la montagne (comme sur une moto), sur les quarts, puis placer les épaules à l'horizontal, le pli de la hanche (pas les fesses en arrières), pour mettre le poids sur le pied aval
- un progrès : déjà sentir pivoter les pieds
- la posture pas important au début pour progresser, skier, et essayer de comprendre les réactions des skis en fonction des différentes actions
- engagement, physique, technique
- flexion de la cheville, a priori pas si prononcée que cela
- toujours un contact tibial, le poids réparti sur les pieds, idéalement réparti, autour de la voûte des pieds
- avant le virage, alléger le ski en faisant une flexion, puis mouvement des épaules dans le pente, en avant et aval (cf exercice sur glacier de Pissaillas le lundi après-midi)
- au moment de déclencher son virage, relâcher les muscles des mollets (permet d'aller naturellement en avant)
- "libérer les articulations", se baisser sur les jambes, avoir les bâtons dans le champ de vue (sentir l'effet du placement des bâtons)
- l'un des plus importants : le regard, regarder loin, pas les spatules, "regarder loin devant"
- petits virages : les épaules toujours dans la pente, position dynamique, exercice de planter les 2 bâtons (1 au niveau de la spatule, l'autre au niveau de la chaussure), position fléchie, les épaules vers la pente
- virage coupé ; mettre les skis sur les quarts avant le virage
- sur neige "molle" ou presque hors piste, se redresser, position plus haute, le poids réparti sur les 2 skis, les skis rapprochés
- pour bien tourner sur piste, les skis assez écartés, écartement des hanches
- une seule manière de prendre ses bâtons
- aller chercher le planter de bâton loin devant, à hauteur des spatules avant
- sur la godilles, les virages courts, dissociation, les jambes reviennent naturellement dans la position d'origine, flexion/extension rythmée
- appuyer sur un ski parabolique le fait tourner
- c'est le gros pouce qui guide le ski, qui contrôle la trajectoire
- si bonne pente (vert/bleue), bonne neige, les skis sur les quarts et cela "tourne sans effort", quel plaisir
- avalement pour les bosses
- anticipation, retour d'anticipation, avant le virage, mettre les épaules vers la pente, puis le buste "suite" la pente", en décalage par rapport aux skis (cf schéma livre)
- décontraction, regard haut, relâchement musculaire avant le virage
- accompagner le virage en s'abaissant, les jambes toujours active, cela permet d'alléger les skis et de contrôler la trajectoire (et d'éviter le dérapage)
- prise de vitesse, virage coupée, bien se pencher en avant, les bâtons à hauteur des hanches, bien sentir le poids sur les pieds, contact tibial
- godille : planter de bâton, mouvement du poignet, pas mouvement important des épaules
- "gros volume de ski" pour aisance, ressentir les effets des actions, "l'impression de régresser par moment, c'est normal car on essaye de nouvelles choses)
- si glace : poids sur pied aval, si dérapage, laisser aller, bon dosage, par forcément un grand poids sur le ski aval, relâchement
- intelligence des pieds (très bon niveau)
- cantting : fondamental... bon réglage maintenant, permet de mettre les sks sur les quarts sans effort, cela change tout...
- exercice : au lieu de flexion / extension avant le virage, flexion d'un coup (qui provoque un allégement) pour le virage puis on pivote les skis et on tourve, puis on se relève petit à petit pour contrôler le virage
- autre exercice : complément à le flexion/extension et on lance les épaules dans le virage en faisant pivoter les skis (essayer de sentir l'action des pieds)
- contact tibial permanent même si forte pente, bien se pencher (le plus dur à réaliser). Si des difficultés, s'arrêter et reprendre lentement.
- avoir les épaules toujours au-dessus des chaussures, le poids réparti sur les pieds. Si mauvaise neige (glace + paquet de neige), revenir à une position plus haute, comme dans la pooudreuse, rapprocher les skis et le poids réparti sur les 2 pieds
- pour libérer les articulations : se plier, les bras dans le champ de vision et les jambes écartées, largeur du bassin
- avoir des jambes (cuisses), abdo et du souffle.
Skis : Salomon X Wing Tornado Ti 2010. Trop "rigides" ? Bonne vitesse en courbe une fois le poids sur le ski. Ski "Polyvalent", Pistes/Hord piste. Privilégier des skis "pistes" pour stage "piste" ? Groupe : confirmé (débutant, maîtrise, confirmé, expert). Hors piste : à Tignes, possibilité pour des confirmés. A Val d'Isère, il faut être "expert".
Différence entre "expert" et "confirmé" : la maîtrise, le contrôle, le toucher de neige, la technique, passent partout sans problème (bosses, verglas, ...).
Ski :
- épaules, bras relâchés, par contre, abdominaux contractés, buste contracté
- dans la pente, le corps se penche en arrière naturellement avec l'accélération, il faut un effort physique, du buste, des abdominaux pour se pencher en avant
- avoir le poids du corps sur le pied qui guide, sur le pied aval en courbe
- courbe coupée
- carving : pousser les genoux, les tibias, parallèles
- angulation : pencher le corps du côté de la montagne (comme sur une moto), sur les quarts, puis placer les épaules à l'horizontal, le pli de la hanche (pas les fesses en arrières), pour mettre le poids sur le pied aval
- un progrès : déjà sentir pivoter les pieds
- la posture pas important au début pour progresser, skier, et essayer de comprendre les réactions des skis en fonction des différentes actions
- engagement, physique, technique
- flexion de la cheville, a priori pas si prononcée que cela
- toujours un contact tibial, le poids réparti sur les pieds, idéalement réparti, autour de la voûte des pieds
- avant le virage, alléger le ski en faisant une flexion, puis mouvement des épaules dans le pente, en avant et aval (cf exercice sur glacier de Pissaillas le lundi après-midi)
- au moment de déclencher son virage, relâcher les muscles des mollets (permet d'aller naturellement en avant)
- "libérer les articulations", se baisser sur les jambes, avoir les bâtons dans le champ de vue (sentir l'effet du placement des bâtons)
- l'un des plus importants : le regard, regarder loin, pas les spatules, "regarder loin devant"
- petits virages : les épaules toujours dans la pente, position dynamique, exercice de planter les 2 bâtons (1 au niveau de la spatule, l'autre au niveau de la chaussure), position fléchie, les épaules vers la pente
- virage coupé ; mettre les skis sur les quarts avant le virage
- sur neige "molle" ou presque hors piste, se redresser, position plus haute, le poids réparti sur les 2 skis, les skis rapprochés
- pour bien tourner sur piste, les skis assez écartés, écartement des hanches
- une seule manière de prendre ses bâtons
- aller chercher le planter de bâton loin devant, à hauteur des spatules avant
- sur la godilles, les virages courts, dissociation, les jambes reviennent naturellement dans la position d'origine, flexion/extension rythmée
- appuyer sur un ski parabolique le fait tourner
- c'est le gros pouce qui guide le ski, qui contrôle la trajectoire
- si bonne pente (vert/bleue), bonne neige, les skis sur les quarts et cela "tourne sans effort", quel plaisir
- avalement pour les bosses
- anticipation, retour d'anticipation, avant le virage, mettre les épaules vers la pente, puis le buste "suite" la pente", en décalage par rapport aux skis (cf schéma livre)
- décontraction, regard haut, relâchement musculaire avant le virage
- accompagner le virage en s'abaissant, les jambes toujours active, cela permet d'alléger les skis et de contrôler la trajectoire (et d'éviter le dérapage)
- prise de vitesse, virage coupée, bien se pencher en avant, les bâtons à hauteur des hanches, bien sentir le poids sur les pieds, contact tibial
- godille : planter de bâton, mouvement du poignet, pas mouvement important des épaules
- "gros volume de ski" pour aisance, ressentir les effets des actions, "l'impression de régresser par moment, c'est normal car on essaye de nouvelles choses)
- si glace : poids sur pied aval, si dérapage, laisser aller, bon dosage, par forcément un grand poids sur le ski aval, relâchement
- intelligence des pieds (très bon niveau)
- cantting : fondamental... bon réglage maintenant, permet de mettre les sks sur les quarts sans effort, cela change tout...
- exercice : au lieu de flexion / extension avant le virage, flexion d'un coup (qui provoque un allégement) pour le virage puis on pivote les skis et on tourve, puis on se relève petit à petit pour contrôler le virage
- autre exercice : complément à le flexion/extension et on lance les épaules dans le virage en faisant pivoter les skis (essayer de sentir l'action des pieds)
- contact tibial permanent même si forte pente, bien se pencher (le plus dur à réaliser). Si des difficultés, s'arrêter et reprendre lentement.
- avoir les épaules toujours au-dessus des chaussures, le poids réparti sur les pieds. Si mauvaise neige (glace + paquet de neige), revenir à une position plus haute, comme dans la pooudreuse, rapprocher les skis et le poids réparti sur les 2 pieds
- pour libérer les articulations : se plier, les bras dans le champ de vision et les jambes écartées, largeur du bassin
- avoir des jambes (cuisses), abdo et du souffle.
samedi 27 février 2010
dimanche 21 février 2010
dimanche 14 février 2010
vendredi 15 janvier 2010
mercredi 13 janvier 2010
Johnny Cash, One
Is it getting better
Or do you feel the same
Will it make it easier on you now
If youve got someone to blame
You said one love
One life
When its one need
In the night
One love we get to share it
It leaves you baby if you dont care for it
Did i disappoint you
Or leave a bad taste in your mouth
You act like you never had love
And you want me to go without
Well its too late
Tonight
To drag the past out
Into the light
We're one but we're not the same
We get to carry each other
Carry each other
One
Have you come here for forgivness
Have you come to raise the dead
Have you come here to play jesus
To the lepors in your head
Did i ask too much
More than a lot
You gave me nothing now
Its all i got
We're one but we're not the same
Well we hurt each other and we're doin it again
You said love is a temple
Love the higher law
Love is a temple
Love the higher law
You ask me to enter
But then you make me crawl
I cant be holdin on
To what youve got
When all youve got is hurt
One love
One blood
One life
Youve got to do what you should
One life with each other
Sister
Brothers
One life but we're not the same
We get to carry each other
Carry each other
One
dimanche 10 janvier 2010
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